📶 Mon Wi-Fi intérieur est en PLS : il réclame une mise à jour urgente
📶 Mon Wi-Fi intérieur est en PLS : il réclame une mise à jour urgente
Dans le monde du travail, on est tous connectés. Trop connectés. À nos mails, nos agendas partagés, nos messageries instantanées, nos KPI, nos OKR, nos acronymes en tout genre. Mais il y a une connexion qu’on oublie souvent : celle avec soi-même.
Et là, c’est le drame :
Mon Wi-Fi intérieur rame. La bande passante émotionnelle est saturée. Le signal de bien-être est instable. Et le message “Erreur 404 : limites personnelles introuvables” s’affiche en boucle.
Alors j’ai fait ce que tout bon technicien ferait : 🔌 J’ai débranché. 🔄 J’ai redémarré. 🛠️ J’ai mis à jour mes paramètres internes :
Mode avion activé après 18h
Notifications désactivées le week-end
Firewall émotionnel renforcé contre les urgences non urgentes
Résultat ? Mon Wi-Fi intérieur capte à nouveau. Je reçois des idées claires, des envies saines, et même des signaux de joie spontanée (oui, ça existe).
💡 Moralité : Avant de vous reconnecter à tout le monde, assurez-vous que votre propre signal est stable. Et si vous êtes en vacances… Profitez en pour faire un reset complet. Votre productivité vous dira merci (et votre Wi-Fi aussi)
@Bspfactory🎯#ConnexionASoi#Vacances
🧒 Papa, pourquoi tu rentres toujours fatigué ? Maman, pourquoi tu cries toute seule dans la voiture ?
Il y a des questions qu’on n’entend pas… et d’autres qu’on fait semblant de ne pas entendre. Mais les enfants, eux, voient tout. Ils observent, absorbent, devinent — et parfois, ils s’inquiètent en silence.
À force de courir après les objectifs, d’enchaîner les réunions et de se noyer dans le stress, beaucoup de parents glissent peu à peu… sans s’en rendre compte. La tête sous l’eau. Le cœur en veille. Le regard absent.
Et pendant ce temps-là, dans l’ombre, une petite voix résonne : "Je préfère quand tu ris… Tu te souviens quand on dansait dans la cuisine ?"
💔 Le mal-être au travail n’est jamais une histoire individuelle. Il devient familial, émotionnel, générationnel. Il tisse des silences et des distances, sans qu’on les nomme.
Alors oui, prendre soin de vous peut sembler égoïste dans ce monde qui exige toujours plus. Mais voici une vérité qu’on oublie trop souvent :
Si vous ne le faites pas pour vous, faites-le pour vos enfants.
Car un parent apaisé, c’est une enfance protégée. Un adulte qui respire, c’est un foyer qui vit.
🌱 Faites cette pause. 🌤 Reprenez votre souffle. 💬 Demandez de l’aide. 🚪 Osez changer.
Vos enfants ne rêvent pas d’un parent parfait. Ils espèrent juste un parent qui va bien.
@Bspfactory🎯#PapaMaman#SoinDeSoi
😉 Carnet de bord d’un cerveau en surchauffe : les Chroniques d’un salarié (presque) en burnout …
Toute ressemblance avec votre collègue stressé du 5e, votre manager accro aux deadlines, ou vous-même en train de lire cet article... serait purement fortuite. Mais si par hasard vous vous reconnaissez un peu... c’est peut-être le moment de réactiver vos super-pouvoirs 😉
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Salut, moi c’est Thomas. Je bosse dans une boîte où les “urgent” ne dorment jamais et où le café est considéré comme une extension du contrat de travail. J’étais à deux mails de l’implosion mentale quand j’ai décidé que c’était soit moi, soit le fichier Excel qui allait craquer. Voici ce que j’ai compris et mis en place pour arrêter de ressembler à une imprimante en surchauffe.
Épisode 1 – Redonner du sens : plus qu’un slogan de gourou LinkedIn
🎯 Psychologie de la motivation : parce qu’avoir un pourquoi évite le burn-out du comment
Un lundi matin, j’ai réalisé que j’avais bossé 8h non-stop sur… un PowerPoint que personne n’allait lire. J’ai décidé de traquer les missions qui ME parlaient. Depuis, je commence mes journées par une tâche qui a une résonance personnelle : aider un collègue, régler un souci concret, être utile. Résultat ? J’ai l’impression de ne plus bosser uniquement pour nourrir le serveur.
Épisode 2 – Micro-pauses ou comment j’ai appris à respirer… pour de vrai
🧠 Théorie de la récupération : ton cerveau n’est pas un lave-linge
J’étais du genre à enchaîner les visios comme un sportif de haut niveau qui carbure au stress. Maintenant, je prends 10 minutes entre deux réunions. Je marche. Je respire. Je regarde un pigeon réfléchir à sa vie. Et tu sais quoi ? Ça me recharge plus qu’un double expresso.
Épisode 3 – Poser ses limites sans passer pour le râleur du siècle
🛡️ Assertivité : l’art de dire non sans envoyer de gif passif-agressif
Pendant longtemps, je pensais que refuser une tâche, c’était mal vu. Mais en vrai, poser une limite, c’est offrir à son cerveau une chance de survivre. J’ai mis “pas dispo après 18h” dans ma signature mail. Certains râlent, d’autres m’envient. Moi je dors mieux.
Épisode 4 – Les alliés du bureau, ou comment j’ai créé mon comité anti-folie
💬 Psychologie sociale : le stress se dissout mieux en bonne compagnie
J’ai deux collègues, Elsa et Mehdi, avec qui je débriefe chaque vendredi. On parle boulot, fatigue, envies de reconversion en vendeur de jus détox… et on rigole. C’est mon petit sas de décompression, comme un apéro d’émotions partagées sans olives.
Épisode 5 – J’ai désactivé le mode perfectionniste-ninja
📉 Management vertueux : être efficace sans finir vidé comme une gourde oubliée
Avant, je disais oui à tout. Résultat : je bossais comme 3 personnes, mais avec l’énergie d’un demi-hamster. Maintenant, je trie, je priorise, et je fais moins… mais mieux. Spoiler : le monde ne s’est pas écroulé.
🎬 Morale de l’histoire : pas besoin d’un sabbat mystique pour aller mieux
Se préserver, ce n’est pas devenir moine zen ou vivre dans une yourte (même si ça peut tenter). C’est activer ce qu’on a déjà en nous : du bon sens, un peu d’audace, et beaucoup d’humour. Je n’ai pas tout réglé, mais j’ai quand même repris les rênes. Et si moi j’y suis arrivé, tu peux aussi 😉
🤹♀️ "Choisir, c’est comme danser en chaussettes : faut oser glisser."
Toi aussi tu as déjà passé 20 minutes à choisir une série… pour finir par regarder ton plafond ? Bienvenue dans le club des décideurs paralysés par l’envie de tout bien faire.
La vérité, c’est qu’on vit à une époque où même choisir sa pizza peut devenir une crise existentielle. A force de toujours tout chercher à optimiser, analyser, anticiper... on termine finalement parfois par procrastiner en scrollant sur des vidéos de pandas qui tombent.
Mais si la bonne décision n’était pas celle qui évite l’échec, mais celle qui donne envie d’avancer ?
💡 Quelques vérités non certifiées mais franchement utiles
· On apprend rarement quelque chose en restant planté comme un ficus.
· Le pire choix, c’est celui qu’on ne fait jamais.
· Même une décision “moyenne” peut t’emmener très loin, si tu la portes avec panache (et un peu d’auto-dérision).
🎢 Choisir, c’est risquer. Mais c’est aussi respirer.
Faire un choix, c’est accepter que ça ne sera pas parfait. C’est se dire : “J’y vais, et je verrai bien.” C’est redevenir le héros (ou l’anti-héros) de ta propre histoire, au lieu d’attendre le bon moment qui... spoiler alert : n’existe pas.
Alors oui, tu vas peut-être te planter. Mais tu vas aussi te révéler.
🌈 Message à toi qui doutes
Tu n’as pas besoin de prouver que tu es infaillible. Tu as juste besoin de croire que tu peux te lancer, même avec un soupçon de trouille au ventre. Chaque petite décision assumée est une micro libération. Et le chemin vers plus de liberté commence toujours par un “allez… j’essaye” "...car il y a toujours à apprendre.
🎯Mode d'emploi pour les pros têtus (et fiers de l’être)
Dans la jungle du monde pro — deadlines qui galopent, objectifs qui changent plus vite que la météo, réunions qui auraient pu être un mail — il y a une espèce rare qu’on devrait tous apprendre à cultiver : le professionnel persistant et pugnace !
Vous savez : celui ou celle qui continue malgré tout.
>Non, ce n’est pas de l’acharnement, c’est de l’obstination éclairée ^^.
🧠 La psychologie du travail dit que vous n’êtes pas (entièrement) fous
Persister, c’est avoir une résilience active nous dit la science : on encaisse, on réfléchit, et on avance. On doute, on flanche, mais on remet les baskets pour repartir. Ce n’est pas du masochisme, c’est juste croire en son super-pouvoir intérieur : Albert Bandura — psychologue canadien et professeur à Stanford, nous dit que cela s'appelle aussi l’auto efficacité. (Oui! Vous avez déjà un super-pouvoir! Ne le cherchez pas sur votre badge d’entreprise.)
🙏 La foi : GPS intérieur pour âmes motivées
Et quand l’énergie flanche ? C’est là que la foi entre en scène. En gros, c’est votre playlist intérieure en mode “œil du tigre”! Elle ne vous promet pas le WiFi au paradis, mais elle vous rappelle pourquoi vous vous levez le matin. Qu’elle soit spirituelle, philosophique ou simplement cette conviction que "ça va le faire", elle agit comme un booster d’endurance mentale.
🛠️ Comment ne pas lâcher l’affaire, alors?
Trouver son “Pourquoi pas moi ?” : un bon objectif est celui qui vous parle, pas celui qui fait bien sur PowerPoint.
Échouer avec style, rebondir avec panache : chaque plantage est une leçon déguisée (souvent très bien déguisée).
Célébrer les petites victoires : oui, avoir répondu à ses mails, c’est déjà énorme.
S'entourer de gens qui y croient autant que vous : ou au moins qui vous passent du café.
Faire une pause pour méditer, prier ou juste respirer sans penser à Excel.
🌈 >>>Croire en soi, même (surtout) les jours sans !!!
La persistance, ce n’est pas être une machine de guerre. C’est être humain, profondément humain, et malgré tout... continuer. C’est rater, râler, recommencer, et rire de tout ça avec un brin de foi et beaucoup d’autodérision.
Alors à vous tous, les persévérants du quotidien : continuez à croire. Parce qu’un jour, vous vous remercierez de ne pas avoir lâché.
✨🚀✨Croyances limitantes en entreprise : ces idées reçues qui méritent un "Ctrl+Alt+Suppr".
Force est de constater que dans le monde de l’entreprise, certaines croyances ont toujours la peau (bien trop) dure. Un trop grand nombre de mes patients en pâtissent encore régulièrement…Mais heureusement, ça se travaille 😉
"On a toujours fait comme ça, donc pas de raison de changer."
Remettre en question un processus dans certaines organisations, c’est comme proposer une nouvelle recette de raclette en plein hiver : suspicion, résistance, et débat national. 😆 Et pourtant ! Si on appliquait partout la logique du "C’est comme ça depuis 1998, donc c’est forcément optimal.", on serait encore en train d’envoyer des fax pour confirmer nos réunions Teams. 🤷♂️
"Pas de place pour l’erreur, je ne donne pas à mon boss l’opportunité de me voir en position de faiblesse."
Pourquoi tant de peur autour de l’erreur ? Le Wi-Fi, le micro-ondes et même le Post-it sont tous nés d’erreurs ! Si les employés n’ont pas le droit de se tromper, alors autant leur demander de prévoir une boule de cristal pour établir leurs KPIs. 🔮
"Si on ne voit pas quelqu’un travailler, c’est qu’il ne fait rien."
Télétravail ou espionnage professionnel ? Le mythe du clavier qui clique = productivité a encore de beaux jours devant lui. 💻 En 2025, ne serait-il pas temps d’accepter que bosser en chaussettes chez soi peut être aussi productif qu’une journée passée à éviter les bruits du clavier du voisin ?
"Le brainstorming doit être sérieux."
Oui, certains pensent que "réfléchir sérieusement" signifie rester figé devant un tableau blanc, sans éclats de rire, sans folie créative, juste du raisonnement pur et dur…Mais soyons honnêtes : les meilleures idées sont souvent nées d’un délire. Qui aurait cru qu’un jour, quelqu’un aurait proposé : "Et si on faisait des biscuits… en forme d’animaux ?" 🦒 🍪
La vraie magie d’un brainstorming, c’est de laisser place à l’absurde, aux idées qui paraissent folles, parce que parfois… elles deviennent brillantes. Et si personne n’ose dire des choses incongrues, alors on se retrouve avec un PowerPoint où l’innovation rime avec "processus d’optimisation des synergies". 🙃
🚀 Derrière toutes ces idées figées, se cachent souvent des opportunités inexploitées. >>>> Il est temps de faire un grand ménage dans ces croyances ! <<<< Et si on décidait d’appuyer sur “Supprimer” pour laisser place à un peu plus d’innovation ?
💡🎭 Entre Égos et Solutions…Quand l’excellence devient un frein 🎭💡
Un patient me confie hier, qu’on ne lui donne plus de nouvelles missions au travail. Pourtant, il excelle.
Brillant, incisif, une précision analytique redoutable. Il voit les solutions avant même que les problèmes ne soient posés. Toujours quatre coups d’avance, il devrait être un atout stratégique.
Malheureusement, il me fait aussi penser à un pitbull…incapable de desserrer la mâchoire une fois qu’il perçoit la sortie du labyrinthe de ses projets.
Sa force devient sa faiblesse. Sa fulgurance intimide plus qu’elle n’inspire.
💡 Alors, que faire quand trop de clairvoyance crée de la distance ?
🔹 Adapter sa communication ? 🔹 Ménager les susceptibilités ? 🔹 Apprendre à ralentir pour embarquer les autres ?
Avoir raison ne suffit pas en entreprise. Il faut naviguer entre les égos, comprendre les dynamiques, et savoir que toute décision est autant émotionnelle que logique.
🎭 Y a-t-il des règles du jeu invisibles ?
🔹 Si mon partenaire voit la solution comme une remise en cause de son expertise, il la rejettera, même si elle est parfaite. 🔹 Mon patient le comprend trop tard : imposer une solution sans impliquer les bonnes personnes, c’est condamner son idée avant même qu’elle ne puisse être adoptée.
Les leaders avisés le savent : faire adhérer une idée, c’est faire en sorte que les autres se l’approprient.
Alors ? Au final ? Ménager les égos ou rester fidèle à soi-même ?
C’est un dilemme assez commun : se conformer pour avancer, ou affirmer ses convictions au risque de rencontrer des résistances…
Certaines situations exigent diplomatie et tact, d’autres demandent une affirmation plus directe de nos convictions. Trouver cet équilibre est une question de contexte, de personnalité et de stratégie. Influencer sans se renier, c’est un art subtil qui distingue les leaders inspirants des caméléons opportunistes.
Peut-être que la vraie clé réside non pas dans un choix binaire, mais dans notre capacité à naviguer ces dynamiques sans perdre l’essence de qui nous sommes.
Et vous, où placez-vous le curseur entre influence et authenticité ?
🌴 Congés & Performance : L’art de ne rien faire … et d’en tirer tous les bénéfices 🌴
Imaginez un monde où les employés épuisés seraient remplacés par des collègues épanouis, où le « burn-out » laisserait place au « chill-out ». Utopie ? Pas vraiment. Cela s’appelle prendre des vacances.
Dans une société où l’on glorifie la productivité comme un trophée olympique, le repos semble parfois être l’enfant mal-aimé du bureau. Pourtant, se reposer est une stratégie de travail gagnante. Et non, ce n'est pas juste une excuse pour rester en pyjama jusqu'à midi.
D’un point de vue psychologique, des études montrent que les pauses régulières, les véritables déconnexions (et non pas juste fermer Teams pour ouvrir un autre écran), augmentent la créativité, l’efficacité et... la patience face à cette fameuse imprimante bloquée.
Prenons un exemple concret : avez-vous remarqué que les meilleures idées surgissent sous la douche ou en sirotant un cocktail sur une plage ? (Ce n’est sûrement pas une coïncidence si Newton a découvert la gravité en se baladant, et non pas en faisant des heures sup’.)
Le secret ? Le cerveau adore les moments d’inactivité. C’est dans ces instants que les connexions neuronales se mettent à danser comme lors d’une fête surprise. Alors, en réalité, en se reposant, on travaille pour l’avenir. C’est un peu comme investir dans des vacances pour récolter une super productivité après.
Et soyons honnêtes : qui n’a jamais eu envie d’échanger les réunions Zoom interminables contre une randonnée dans les montagnes ou une sieste à l’ombre d’un palmier ? Les emails peuvent attendre (et pour une fois, cette réponse automatique "Out of Office" devient notre meilleure alliée).
Alors voilà : reposez-vous. Non seulement vous serez plus efficace, mais vous aurez aussi des anecdotes de vacances à raconter à vos collègues (et potentiellement une jolie photo de coucher de soleil à poster en guise de preuve).
Et rappelez-vous : le meilleur investissement pour votre carrière n’est peut-être pas un nouveau logiciel, mais une valise. 🌴
✨ 1 an déjà✨ Gratitude pour ce jalon 🙏
Toujours fidèle au poste !
Au service de toutes les personnes impactées négativement par leur quotidien professionnel...
Gratitude pour ce #jalon qui me permet d'#accompagner,#soutenir, #renforcer, #aideràfairegrandir et à déployer ses forces et envies, pour une vie épanouie et un rapport sain au travail.
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A partir du 6 Décembre 2024 , les créneaux du ✨ VENDREDI ✨ s'ajoutent pour accueillir vos préoccupations et construire des ressources nouvelles, pour une vie professionnelle pleine de sens...
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⚕️Santé mentale du dirigeant⚕️
Non, le dirigeant n'est pas un super-héros doté de pouvoirs exceptionnels qui immunisent contre les maux liés au travail.
Tristesse, angoisses, isolement, douleurs, incompréhension, agressivité peuvent aussi s’exprimer face aux défis professionnels qui sont les siens…
Si l’adage “un corps sain dans un esprit sain” peut déjà être très ambitieux à incarner dans une routine de travail salariée, doublée d'une vie de famille ; qu'en est-il concrètement pour ces chefs d'entreprises de tous bords, qui ont fait le pari d’un plan de carrière privilégiant risque et audace ?
…Charge de travail sous délais très contraints, pénurie de clients, panne de matériel, revendications des salariés, problèmes de trésorerie, actions en justice…
Irritabilité, saturation mentale et épuisement physique sont alors presque inévitablement au rdv, dès lors que le petit vélo des pensées s'emballe et que le bal des émotions crépite sur la durée…
Patrons de PME, libéraux, cadres aux fonctions COMEX...Seuls ou associés…Soyez votre première vigie.
C’est vous qui êtes les mieux armés pour détecter les premiers signes d'alerte d’une dégradation sérieuse de votre santé mentale et physique au travail.
Lorsque l'énergie intérieure n’est plus au rdv, que vos nuits se vident de sommeil, lorsque toutes ces tâches si palpitantes par le passé deviennent un puit sans fin de problèmes que vous avez la sensation de vider à la petite cuillère sans jamais vous arrêter, si vos proches vous disent vous voir profondément changer…Pour un instant, prenez le temps sérieusement d'y penser.
Leader autocratique, démocratique ou coach charismatique…Qui que vous soyez…
Voir et accepter ce constat est le premier pas pour ne pas vous isoler et vous donner les moyens de rechercher l'aide que vous méritez…
🚗Rien n'est donné sur le chemin de la vie🚗
LinkedIn met souvent à l'honneur ces personnes qui ont déjà fait le chemin de se choisir pour bâtir leur nouvelle vie, plus alignée avec leurs valeurs. Mais qu'en est-il des autres ?
Ceux coincés entre leurs désirs et leurs réalités...Ceux enfermés dans leurs arcs réflexes... Ceux sensibles au jugement des autres et qui une fois dans l'action sont freinés dans leur élan, car se découvrent naturellement enclins à voir ce qui bloque, ce qui sera perdu, malgré leur envie sincère de matérialiser leur 'futur désirable'...
Si l'objectif est beau et parfois même vital, le chemin aussi passionnant soit-il n'est pas un long fleuve tranquille...
Un patient devenu expert dans l'art du 'multi burnout ignoré' et de sa santé sacrifiée, m'explique qu'il n'arrive pas à se positionner face à son associée, pour choisir ce qui compte profondément pour lui.
Dirigeant fondateur de sa structure et s'agissant d'autres situations de son quotidien professionnel, il arrive pourtant parfaitement à prendre des décisions importantes pour lui et pour ses collaborateurs.
Habituellement, il s'y tient, sans autres consultations plus poussées avec sa partenaire professionnelle. Mais depuis qu'il a décidé de sortir de la société, mettre sa santé au 1e plan car ses crises sont devenues de plus en plus sévères, rien ne va plus.
Il y a de l'enjeu, de la pression à réussir à s'en aller. Il faut aussi accepter la maladie.
Des systèmes de croyances se réactivent, des schémas de fonctionnement non efficaces se mettent en place. Plus il souhaite avancer vers son objectif plus ses défenses prennent le relais. Ça bloque.
'Elle me dit que je ne fais plus grand chose pour l'entreprise depuis que je suis souffrant, alors je dois continuer à faire mon travail si je veux qu'elle me rachète mes parts'
'Elle n'a jamais voulue s'impliquer dans cette part du boulot qui est très stratégique. Si je m'arrête ou si je sors de la boite demain, comme il n'y a que moi qui sait faire, ça va faire du mal à la structure alors je continue '
'J'ai toujours résolu tous les problèmes pendant qu'elle gardait le beau rôle d'associée. Je sais que je peux mourir si je continue, mais maintenant que tout est redressé, si je m' en vais, je vais même pas pouvoir profiter de la meilleure période'.
Rien ne sera donné dans cette histoire singulière.
Du chemin reste à parcourir pour arriver à trouver et construire le plus petit espace acceptable, propice à la pose des premières pierres fondatrices de cette nouvelle vie.
- Aider à voir et décrypter ces boucles clivantes, comprendre où elles prennent racine pour mieux s'en libérer.
- Faire miroir de l'expression de son pouvoir personnel, efficace dans d'autres domaines, disponible pour être activé pour des choses engageantes pour soi même.
- Aider à construire les ressources intérieures pour ne pas tomber dans la culpabilité,
- Apprendre à être doux avec soi même lorsque tout notre être se met en défense.
... Autant d'axes de réflexions utiles à travailler les uns à côté des autres pour se renforcer de l'intérieur, construire les conditions de son changement et trouver le juste rythme pour le matérialiser.
🤔 Souffrance au travail : une formidable opportunité de reprendre son pouvoir personnel.🤔
Telles les deux faces d'une même pièce, d'un pépin peut aussi naître une pépite, à qui sait en percevoir les contours puis décider de persister à faire émerger les conditions de son retour au calme et à la stabilité !
Ressentir du mal être au travail est souvent le symptôme d'une inadéquation entre les sensations expérimentées par celui qui 'fournit' et de celui qui 'commande'...
Tout commence par le classico triangle bourreau, victime, sauveur, mais pas que...
Le salarié : "L'entreprise est injuste, je lui ai tout donné, voilà comment elle me récompense..."
Le manager : "Le salarié est déloyal, il refuse de faire ce qu'on lui dit alors qu'on vient de lui accorder une prime pour le travail réalisé..."
Peu à peu, quelque chose se rigidifie, là où seule la flexibilité pourrait permettre de retrouver un terrain d'entente...Alors faisons un pas de côté et sortons un instant du système, pour regarder la situation au travers d'une autre facette de ce kaléidoscope professionnel...
Pourquoi être flexible là où notre balance intérieure crie à l'iniquité me direz vous ?
Le salarié & le manager : "Je dois recevoir ce que je mérite ! J'ai tant investi, on me doit cela ! ..."
Parce que plier n'est pas renoncer et que la souplesse n'appelle pas l'acceptation de tout. Si ce n'est, accepter de voir la situation,
en dehors des pensées négatives qui déforment notre compréhension des choses,
en dehors des émotions fortes qui biaisent notre analyse,
car ne font que nous faire souffrir et nous empêcher de trouver des compromis.
L'enjeu ne serait-il pas plutôt de réussir à voir la situation telle qu'elle est ? Déséquilibrée.
Cela redonnerait pourtant toute sa place à notre capacité propre de reprendre le dessus et remettre nos priorités au centre...Pour rebâtir un équilibre spécifique à nos besoins dans le système qui s'exprime...
Faut-il rester ? Faut-il partir ? Faut-il changer de positionnement dans son rapport au travail ? Revoir sa manière de donner quand on ne reçoit plus assez ? Accepter la fin de l'homéostasie au sein d'une équipe? Proposer de nouvelles dynamiques internes ?...
L'honnêteté est alors de mise!
Identifier seul ou accompagné
comment grandir dans sa posture,
comment apprendre à se préserver sans se compromettre,
accepter de voir de nos yeux la vérité du cœur ainsi que nos vrais moteurs et leviers d'actions, jusqu'à retrouver une stabilité satisfaisante :
ici, ailleurs, ensemble ou séparé mais toujours aligné avec nos valeurs.
😭Je n’ai pas le choix 😭
😭‘Mon chef m’a demandé de faire ça. Pas le choix, je vais le faire’😭
Déjà entendu ? Ça vous parle ? Oui, mais de quoi ?
Nous passons nos vies à décider et particulièrement en milieu professionnel. Si choisir c’est renoncer faut il pour autant se sacrifier ?
Certains penseront : désengagement du salarié. D’autres y verront un abus du management. Et si cela n’était finalement qu’un grand système où pôles A et B peuvent aussi apprendre à trouver un point d’équilibre au bénéfice des objectifs de l’entreprise ?
A défaut de ce respect là, s’installera très probablement le déséquilibre. Celui qui, à force de devenir si grand emmènera notre binôme dans la logique inévitable du gagnant-perdant, dominant–dominé… Est-ce bien vers là que nous voulons aller, pour apprécier notre quotidien de travail et satisfaire toutes les parties avec lesquels nous avons contractualisé ?
Contre proposer un budget, une méthode, un délai…Négocier une augmentation, une prime, les modalités de collaboration avec l’équipe d’à coté…Cela s’apprend…Mais au milieu de tout cela, choisir de ‘se choisir’ dans l’équilibre et le respect des objectifs de l’organisation, de ses collègues, encadrants et subordonnés, comment fait-on ? …
Comme nombre d’entre nous le savent déjà ‘ne pas choisir c’est déjà faire un choix’ – Merci Monsieur Jean Paul Sartre ! N’aurions-nous pas alors tout intérêt à faire les choix qui concourent à offrir le plus possible, un espace de liberté suffisant pour être un contributeur investi dans les missions qui lui sont confiées ?
Pour bien SE choisir en entreprise, nous pourrions tenter d’envisager les idées suivantes :
- Déjà, savons-nous qui nous sommes ? Bosseur, salarié mais rien de plus si non affinité, contributeur de toutes les heures, leader dans l’âme, Team-Player sous employé… ?
- Savons-nous ce que nous valons ? Moins que Rufus qui sait y faire avec son manager, mieux que Charlotte que j’encadre depuis janvier. Aucune comparaison possible puisque chacun à ses talents et que les ‘poissons ne sont à priori pas fait pour grimper aux arbres’ > hormis bien entendu, le poisson ‘Gourami’ d’Afrique et d’Asie du sud, disposant de super branchies épineuses qui lui permettent de réaliser cet exploit (mais c’est rare, hein 😉)
- Savons-nous ce que nous voulons et ne voulons pas au sein de cette organisation ? Nous ne sommes pas tous fait du même bois, n’avons pas les mêmes contraintes et responsabilités, ne sommes pas tous prêt à renoncer ou engager les mêmes ressources… Et vous ? Que voulez vous ?
> Prendre conscience de ce qui guide nos actions sans jamais se renier va bien au-delà toutes questions hiérarchiques, systémiques et organisationnelles, puisque ne n’avons de pouvoir que sur nous même (le reste – influence - n’apportant pas toujours la garantie du résultat escompté 😉)
> Mieux se connaitre, c’est mieux définir ses limites, pour mieux se positionner.
C’est bien là pour moi que réside la plus grande des libertés, pour garder toujours le goût du travail bien fait et le cas échéant prendre des dispositions plus adaptées lorsque le vent tourne et nous demande de pivoter…
🫥🐣🐥 Et si l’esprit de Pâques nous apportait 3 réflexions utiles à l’amélioration de nos pratiques de travail ?
Et si l’esprit de Pâques nous apportait 3 réflexions utiles à l’amélioration de nos pratiques de travail ?
Je ne vous parle pas de ‘résurrection’ de soi en milieu hostile mais plutôt de construction d’un espace de renouveau pour soi même : en mobilisant nos capacités à identifier et à investir toutes les fenêtres d’actions encore à notre portée malgré un environnement souvent contraint…
🫥Début du Carême : Préparation au changement par le silence et l’autocritique
> Je prends un temps d’humilité, de retour en moi pour observer et discerner les priorités de ma vie.
> Je fais l’introspection des comportements qui vont dans le sens de la concrétisation de mes objectifs de travail et j’ai la pleine conscience de ceux qui m’en éloignent.
> Je combats mes ‘mauvais penchants’ qui me pousseraient à maintenir des actions inefficaces, à mon plus grand détriment en entreprise.
> J’identifie mes zones de progression possibles et zones de génie pour maximiser mon pouvoir personnel et mes chances de reconnecter à la plénitude de ma satisfaction au travail.
🐣 Le Triduum Pascal : Attente de l’accomplissement de nos espérances
> J’agis dans le sens vertueux que je me suis fixé, sans me retourner et quelles que puissent être les doutes et les épreuves sur mon chemin.
> J’ai une foi inébranlable en ma capacité à avancer en direction du changement, car chaque pas, même le plus petit, me rapproche jour après jour de l’objectif qui est le mien.
> Je me souviens que je suis au service de mon propre développement et je me pardonne de tout retour arrière car je fais de mon mieux pour renaitre à moi-même, motivé par les nouveaux horizons que je me fixe.
🐥 La Résurrection : La victoire de la persévérance et de la satisfaction sur mes propres faiblesses
> Je goute à la joie d’avoir transmuter mes peurs et mes limites pour tourner mon énergie vers des comportements désirables, efficaces pour répondre aux objectifs de l’organisation
> L’esprit du renouveau et de l’espoir m’accompagne dorénavant pour ancrer durablement ces comportements nouveaux
> Je sais dorénavant que je suis capable de plus encore. Je me donne les moyens d’agir et choisis de continuer à grandir sur le chemin de la meilleure version de moi même
🚨On me dit dans l'oreillette…
🚨On me dit dans l'oreillette que 'JE' n'existe, ne me construis et n'évolue qu'au travers de mon expérience aux autres...C’est encore plus vrai et intense au travers des jeux qu'impose presque automatiquement la nécessité d'aller gagner sa vie et de vivre l'expérience des relations de travail.
Moi je veux apprendre, collaborer, m'épanouir dans mon quotidien professionnel et avec mes collègues. Mais l'injonction à atteindre des objectifs de plus en plus ambitieux, à aller toujours plus vite, à toujours prendre de nouveaux sujets qui dépassent souvent mon champ de compétence, fait de chaque jour un nouveau défi rempli d'inquiétudes, d'angoisses et peu à peu de peurs.
Cela me procure tellement d'inconfort que j'en oublie mes bases, fragilise mon rapport au travail et ma capacité à contribuer efficacement. Perte de moi, de mon essence, de mon moteur au travail...
Le travail n'est pas là pour me placer 'des petits coussins dans le dos' me direz-vous !
Le travail ne doit pas être toute ma vie !
Et pourtant...Chaque jour on m'explique que je dois être ce rouage essentiel à mon entreprise, cette personne de confiance sur qui on doit pouvoir compter. Celle qui trouve le sens.
Alors je m'inquiète...
Parce que si je ne 'sers' plus les intérêts de l'organisation je deviens le grain de sable... On me presse, ça m'oppresse, 'JE' me stresse, 'JE' deviens le problème...
Alors mon travail prend tout mon espace. Au delà du jour, mon esprit prend le relais la nuit... Ces autres, à l'intérieur du même système, peuvent-ils, veulent-ils, doivent-ils m'aider ?
A défaut de réponse parfaite, je négocie, je verrouille, je fige, je freine de tout mon corps, je crie intérieurement, je plie, je contrains mes ressentis et je me conforme...
J'attends.
Et par usure et répétition, me noie un peu plus chaque jour, ne sachant plus comment échapper à toutes ces demandes, pour respecter un peu mes attentes, envies, besoins...
La légèreté en entreprise ? Elle n’a à priori pas vraiment bonne presse. Et pourtant…Il s’agit là d’un excellent levier de motivation, tant qu’elle ne devient pas injonction à faire ou dérive en acte blâmable.
Qui à notre époque aime évoluer dans un environnement professionnel fermé et austère, promouvant la culture du silo ? La légèreté aide à fluidifier les relations interpersonnelles, impacte l’engagement des salariés, est le ciment des sessions de travail collaboratives et tant d’autres choses encore…
A cultiver d’abord pour soi même ! Rare seront les reproches de contamination, si votre enthousiasme déborde un peu sur votre entourage pro !
On la pense souvent futile : perte de temps ou opposée à l’efficacité et à la performance. Mais la légèreté de transposer en joie ses passions, ses savoirs ; la légèreté de créer du lien en investissant les temps de ‘Small talk’ et plus généralement de l’informel, peuvent bien souvent faire toute la différence dans notre capacité à partager, à fédérer, à avancer ensemble, soudés vers l’atteinte des objectifs fixés.
Alors comment connecter à sa légèreté et semer des graines de bien-être et d’audace dans son organisation ?
- ‘Qui aime votre originalité, vous suivra volontiers’.
> Votre personnalité et votre énergie sont des moteurs très puissants pour aider à faciliter le travail ! Ne dit-on pas que la forme compte tout autant que le fond, sinon plus ? Sourire, humour, spontanéité, partage d’idées. Autant d’armes redoutables pour faire passer vos messages dans la bonne humeur et en toute humilité.
- ‘En vous autorisant, vous autorisez’.
> Créer un espace de respiration au milieu de votre tourbillon d’actions quotidien ! Face au stress, aux tensions, aux divergences de points de vue qui consument nos journées, saisir chaque brèche sans hésiter ! Initier le quart d’heure de folie sur votre open-space, sera comme une invitation pour tous à saisir l’instant pour se ressourcer.
- ‘Seul ceux qui ne font rien ne se trompent jamais’ 😉
> Si votre environnement s’y prête, suivez vos inspirations, tentez des choses différentes ! Les plus audacieux pourront tester de nouveaux modes de travail collaboratif : créativité, émulation collective ludique, un pas de coté tout en déroulant une trame structurée, qui fera gagner à la communauté un temps précieux, et peut être trouver les nouveaux alliés qui manquaient pour booster vos projets.
🧠Croyances aidantes & Croyances limitantes ... Deux faces d'une même pièce qui peuvent faire de notre quotidien (de travail) un paradis ou un enfer ;)
Venues de notre éducation, de nos expériences passées, des renforcements issus de nos relations au quotidien, elles se multiplient au fil des ans pour devenir peu à peu le terreau de notre réalité.
Fondatrices de nos émotions, pensées et comportements, qu'elles soient porteuses ou enfermantes, elles guident nos pas à chaque instant : Que choisissez vous ? : On 'surfe' cette vague ? Ou au contraire 'on se laisse noyer' ?... Le pouvoir reste entre nos mains en travaillant à choisir dans quelle direction laisser vos croyances aller !
Mieux cerner ses croyances, c'est le levier pour mieux agir dessus
Vérifier leur bon fondement, c'est se laisser une possibilité de les faire évoluer
Utiliser la 'technique des tiroirs' pour n'activer que celles qui soutiennent activement nos objectifs, c'est l'apprentissage d'une meilleure maîtrise de soi au service de nos projets.
Et surtout, quels que soit la situation, l'état d'esprit, le niveau de résistance au changement que l'on croit porter en soi, faire cette introspection, seul(e) ou accompagné(e), c'est déjà essayer faire le tout premier pas nécessaire à l'évolution son 'mindset' sur la durée.
~ Carine LORANG ~ Psychologue du travail ~ 11 rue de Paris 94220 Charenton-Le-Pont ~ Ile de France : 75 - Paris 75001 - Paris 75002 - Paris 75003 - Paris 75004 - Paris 75005 - Paris 75006 - Paris 75007 - Paris 75008 - Paris 75009 - Paris 75010 - Paris 75011 - Paris 75012 - Paris 75013 - Paris 75014 - Paris 75015 - Paris 75016 - Paris 75017 - Paris 75018 - Paris 75019 - Paris 75020 , 94 - Créteil 94000 - Saint Maur des Fossés 94100 - Nogent sur Marne 94130 - Alfortville 94140 -Vincennes 94300 - Sucy en Brie 94370 - Bonneuil sur Marne 94380 - Limeil-Brévannes 94450 - Boissy Saint Léger 94470 - Maisons Alfort 94700 - Ormesson 94490 Loire Atlantique : 44- Nantes 44200 -Saint-André-des-Eaux 44117 - Pornic 44210 - Saint-Brevin-les-Pins 44250 - Pornichet 44380 - La Baule-Escoublac 44500 -Trignac 44570 - Saint Nazaire 44600